Une bien belle decouverte

Une bien belle decouverte comptée par Christian et Sylvie ... nous les avons decouverts recemment et nous trouvons pleins de points communs .... tout en étant de très proches voisins ...
Ils sont à croquer, et leur experience nous fait très envie ....

Il sont très amoureux et partiront prochainement fêter leur 25 ans de mariage à Rome ... Nous les accompagnons par la pensée dans cette ville envoutante ...
Il y a peu nous fetions nos  xx ans de vie commune dans une autre très ville d'Italie, celle où nous avions fait notre premier voyage ensemble .... Venise !

Christian et Sylvie écrivent aussi, et ils ont bien voulu nous faire decouvrir ainsi leur découverte des plaisirs multiples .... C'était il y a deux ans, mais laissons leur la plume :)

Decouverte …

Enfin mon épouse, Sylvie, avait accepté de rencontrer un couple avec lequel nous échangions des mail et photos depuis un an.

Nous les avons invités à passer un week-end chez nous avec, comme engagement, qu'il ne se passerait quelque chose que si le désir était partagé de tous.

La soirée commença doucement, nous parlions de chose et d'autres… le temps passait, mais rien ne se passait !

C'est à ce moment que Sylvie proposa à Marie de venir découvrir sa collection de sous-vêtements. Je fus surpris, et ravi, de l'audace de mon épouse !

Je restais au salon avec Philippe tout en les entendant rire et parler. Elles ressortirent en body résille, laissant apercevoir leur seins et culotte.

J'étais aux anges et nous commencions à les photographier, séparément, puis l'une contre l'autre, puis enlacées… l'excitation montait…A leur tour, elles nous photographièrent, nos queues exposées, nos culs offerts…

Marie s'absenta un instant pour se changer et les hommes en profitèrent pour se déshabiller.

Sylvie s'installa entre nous, nous la caressions, … elle ôta d'elle-même sa culotte pour nous faire découvrir ses lèvres d'un rouge carmin, gonflées et réunies par sa mouille.

Philippe était d'une grande douceur, ne précipitant pas les choses et se fut Sylvie qui s'empara de ses lèvres.

Devant moi, elle l'embrasse goulûment, caressa son visage, descendit le long de son ventre pour atteindre sa virilité. Pour la première fois, je contemplais ma fidèle épouse, le sexe d'un autre homme à la main et ravie de cette situation.

Je pris un peu de recul pour admirer cette scène, je voyais leurs mains parcourir leur corps, je commençais à entendre leurs gémissements que leurs baisers n'arrivaient pas entièrement à étouffer.

Sylvie branlait consciencieusement Philippe, un va et vient régulier sur cette queue présentant une splendide érection qui me faisait envie à moi aussi….

Je me décidais de me rapprocher. A mon tour, je me mis à caresser ma femme, ces seins dont les pointes étaient durcies, son ventre qui ondulait sous le désir… leurs langues ne cessaient de se mélanger, à quelques centimètres de moi… elle s'arracha à cette bouche pour m'embrasser, puis passait de l'un à l'autre tout à fait naturellement.

A un moment, j'invitais Philippe à partager notre baiser et ce fut trois langues qui tournoyèrent ensemble !

Elle que j'avais connu réservée, sa sensualité s'exprimait (enfin) dans une dimension supérieure….

Je la sentais prête à tout, je lui dis que je voulais la voir avec une queue dans chaque main… elle s'exécuta aussitôt en souriant et synchronisa son mouvement, … elle était radieuse, resplendissante, éblouissante avec la même distinction naturelle qu'elle sait montrer en société.

Ce salon familial était devenu un lieu de jouissance dont elle était la prêtresse !

C'est à ce moment que Marie arriva :  je désirais son corps, sa chatte rasée, ces seins qui ne demandaient qu'à être malaxés… elle m'offrit sa bouche, puis plongea profondément sa langue dans la mienne. J'aimais ses baisers qui exprimaient une offrande totale.

Je parcourais son corps de mes lèvres et abouti à son nid d'amour : elle était aussi rasée, avec une vulve plus sombre que mon épouse.

J'explorais sa fente, débusquait son clitoris, me hasardais jusqu'à son anus, je me régalais de son corps, pendant que ses mains parcouraient le mien. Je sentais en elle une certaine sauvagerie qui attendait de s'exprimer, … elle mordit mes lèvres, pinça de ses dents mon mamelon. Pendant ce temps je lui caressais tendrement ces cheveux comme un signe d'encouragement, puis lui offrit un martinet.

Elle su le manier avec dextérité ;  à quatre pattes, je lui présentais mon cul qu'elle se mit à fouetter, traçant des stries rouges, tandis que devant mes yeux Sylvie prodiguait à Philippe une superbe fellation : elle avait presque entièrement avalé sa queue…

J'embrassais les pieds de mon épouse accroupie devant son nouveau mâle…

Marie continuait de jouer des lanières, puis rejeta l'objet pour me demander de la prendre.

Nous étions maintenant tous les quatre sur le canapé, Marie se mit sur le dos, ramena ses genoux jusqu'à sa tête et m'offrit sa chatte dans le plus grand écartement possible.

Je ne pouvais résister, nos bouches et nos sexes s'unirent, elle ferma les yeux et se laissa prendre. Je levais la tête et vit Philippe branler Sylvie qui chevauchait sa cuisse, ses doigts exploraient la chatte et ressortaient trempés !

Plus personne ne parlait, Marie accompagnait mes va-et-vient de plainte sourdes, Sylvie me regardait, je voyais dans ses yeux son plaisir en train de monter… elle s'approcha de moi et m'embrassa sans que je cesse de pénétrer Marie. Notre baiser dura longtemps, nous étions dans une étroite communion charnelle et intellectuelle. Mes coups de reins rythmaient les échanges de nos langues.

Elle regarda Marie qui gardait les yeux fermés, approcha son visage du sien et s'empara de sa bouche…. Mes rêves devenaient réalités, Marie répondit avec enthousiasme et ce fut un long baiser, à pleine bouche. Les yeux clos, dans un souffle partagé, elles s'embrassaient avec avidité…

Philippe s'approcha de la croupe de mon épouse, toujours en levrette sur le canapé, il cherchait à la prendre, elle lui offrit son cul en réponse…

Je voulais m'en rendre compte et laissais Marie. En me glissant sous Sylvie, j'envoyais ma main vers son bas ventre et je rencontrais la queue de Philippe fichait dans son anus, raide.

Je n'eus pas le temps d'aller la flatter de mes mains ou mieux de ma bouche, Marie voulait à nouveau sa saillie.

Nous nous mîmes donc chacun à prendre la femme de l'autre en scrutant sur leur visage les signes du plaisir donné par la queue de l'amant.

Il y avait tant de combinaisons à essayer encore, tant de caresses nouvelles à découvrir….

Sylvie repoussa son partenaire, lui présenta sa fente et lui intima l'ordre de s'occuper de son bouton en se mettant accroupie sur un accoudoir. De cette manière, on voyait parfaitement le volume de ses lèvres qui peuvent remplir entièrement une bouche !

Une goutte de mouille perlait, ses fesses se contractaient à chaque rotation de l'index de Philippe sur son capuchon… son plaisir n'était plus très loin… je la regardais tout en caressant les seins de Marie, mes doigts étaient plongés dans son vagin, en les sortants j'en goûtais le nectar.

Soudain Sylvie cria, elle venait d'avoir un orgasme qui avait du la surprendre, nous la regardions tous, elle rougit…

Je venais de plonger ma queue dans le vagin de Marie, j'arrêtais un instant de la labourer, nos regards se sont croisés et je souri à mon épouse, son amant l'avais fait jouir, sous nos yeux en lui inondant la main de son plaisir.

Nous étions tous un peu fatigués après plus de trois heures d'ébats. Marie resta allongée, assis à ses côtés je la caressais, sur le ventre et les seins.. Sylvie s'était blottie contre Philippe qui lui aussi se concentrait sur sa poitrine… nous sommes restés la un grand moment a observer la douceur et la tendresse que chaque amant prodiguait à l'épouse face au mari, puis chaque couple se reforma et s'enlaça amoureusement.

Nous étions bien ensemble, nous savions que nous n'étions qu'au début d'une nouvelle histoire d'amour.

Chacun regagna sa chambre, je n'avais pas joui et je voulais prolonger ses instants magiques… a genoux tous les deux sur le lit, face à face, elle comprit ce que j'attendais. Sa main s'empara de ma virilité, l'autre parti soupeser mes bourses et effleurer mon anus.

Je lui parlais de ce que j'avais ressenti, du plaisir de la voir vu, entendu… de la contempler empalée, jouissante, suceuse, fouineuse, branleuse de dard, dévoreuse de bouche masculine et féminine….

Elle m'avoua avoir doigté le joli petit cul de Philippe (le coquin, il ne perd rien pour attendre)…je lui susurrais les nouvelles combinaisons que j'espérais…masturbation réciproque des épouses… et des maris, double pénétration, fellation en couple, martinet, éjaculation collective, offrande de queue et de vagin, sondage et godage d'anus….

Elle était d'accord sur tout, n'émis aucune réserve, parla même de poursuivre ce genre d'expérience…

Cela s'est passé le jour de notre anniversaire de mariage, la 23ème année de notre complicité, et ce fut le plus beau cadeau que nous puissions nous faire !

Merci à eux, et à bientôt .... Dites leur, par vos commentaires, ce que vous en pensez .... on va montrer l'exemple, en attendant peut être de leur faire rediger leur rencontre avec ... F&C !?