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Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !

A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.

Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …)  de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de famille.

Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …

Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X ! seul importe ce qu’il en ressort).

Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez  ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire … 

A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...

Bisous coquins et libertins d'Angers !

 


PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous voyageons beaucoup et régulièrement ...


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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 17:47

Un très beau texte, un peu cru, que nous vous livrons. Que l'auteur en soit ici remercié. Si vous souhaitez lui temoigner remarques, encouragements ou remerciements, n'hésitez pas à nous poster un commentaire.
Nous ferons suivre ...

L’autre jour, en attendant sur le quai bondé mon train de banlieue de 8H16 (qui une fois de plus, était supprimé), une femme que j’avais déjà remarqué s’exclama près de moi :

- Oh, ils sont pénibles, ont en a assez de leurs retards à répétition, nous on travaille !

Tout de suite je me dis : tiens ne serait-ce pas là un signal inconscient qui veut dire j’ai besoin de parler, de revendiquer, voir même d’être rassurée, d’être comprise ?!…

Gentiment je me tourne vers elle, et me dis : elle approche la cinquantaine, elle prend soin d’elle ça se sent, ça se voit. Les détails sont là, ses ongles sont longs, impeccablement manucurés, sa frange est joliment tirée, son gloss rouge vif donne du relief à ses lèvres charnues et appelle déjà à la débauche… ses pieds sont couverts de beaux escarpins, assez classiques mais du plus bel effet. Sur son coup de pied, deux/trois plis attirent mon attention ; c’est assez caractéristique de vrais bas … mais je ne sais pas, car ses bas ou collants sont assez epais.

Mais pour être honnête, ce qui a surtout focalisé mon attention, c’est son cul ! Ce cul haut perché, si magnifiquement bombé dans ce tailleur droit. D’emblé je me dis qu’avec le froid qui règne sur ce quai, et malgré les épais bas noirs qui habillent ses mollets, cette dame doit bien avoir besoin d’être réchauffée...

Je ne tarde donc pas à fantasmer sur elle, ni à sentir une bosse se former dans mon boxer… Surtout que ses seins imposants sont là tout près et se collent peu à peu à moi en raison de la cohue ambiante, à l’approche du train de 8H26…

Impeccable dans mon costume avec mon long manteau, ma petite sacoche et ma petite gueule bien rasé, je savais qu’un petit "frottis frotta" passerait comme une lettre à la poste.

J’ai remarqué que l’habit faisait souvent le moine, et que lorsque j’allais au travail, avec mon air de garçon bien élevé, je récoltais moult sourires qu’il m’est difficile d’obtenir le week-end lorsque je sors en jean baskets. J’ai donc surtout remarqué que l’habit pouvait favoriser le contact, et appuyer le premier échange corporel.

Sûr de mon fait, j’en profite. Je me frotte peu à peu à ses seins, certes cachés derrière un beau manteau mi-long, mais dont l’on devine aisément le galbe. Je sens qu’ils sont charnus, j’imagine qu’ils ont vécus, qu’ils ont donnés du plaisir, et qu’ils veulent en donner et en recevoir encore plus.

Je les sens lourds, prêt à remplir une bouche ou prêt à astiquer un manche bien raide jusqu’à le faire reluire…

Je commence à avoir la trique, mon cœur bat légèrement plus vite, mon instinct bestial et mon excitation croissent aussi rapidement que ma queue. Je suis aussi émoustillé qu’un ado de 13-14 ans qui vient de voir pour la première fois une "hôtesse" derrière une vitre de bar à pute, rue Jean Baptiste Pigalle !

Elle sait que je la matte, elle sait qu’elle m’excite sous son faux air de bourgeoise perdue sur un quai de gare, mais elle sait surtout que je suis conscient de l’exciter elle aussi !

Faisant mine de regarder ma montre l’air agacé, j’effleure de mon avant bras droit son sein gauche, et malgré l’épaisseur de son manteau j’imagine un téton qui pointe. Je visualise ce téton qui ne demande qu’à être sucé, léché, titillé, branlé du bout de mes petits doigts préalablement humidifiés de sa salive ou de son jus !!!

Hypocritement je me confonds avec un grand sourire, d’un malicieux :

- Excusez moi Madame.

- Mais il n’y a pas de mal Monsieur, répond-t-elle en me rendant ce coquin sourire.

Après ce majestueux échange de commodités, je sais alors que la conversation peut venir tout naturellement…

Le train de 8H26, arrivant enfin à quai, comme tout garçon bien éduqué, je l’invite à passer devant moi afin qu’elle puisse monter la première :

- Allez-y Madame, je vous en prie.

- Merci bien Jeune Homme, vous êtes bien aimable.

Cette marque de galanterie de ma part, était avant tout un stratagème afin que je puisse frotter entre ses fesses mon sexe déjà bien dur. Ce chibre qui est si bien tendu dans mon pantalon, et qui jusque lors était contenu derrière ma sacoche (il faut bien qu’elle me serve à quelque chose de temps à autre !).

Elle sent alors mon gland congestionné et elle ne se tourne pas pour me lancer un regard noir ou même me coller une gifle. Bien au contraire, elle cambre légèrement ses fesses en dandinant son magnifique cul contre moi, feignant de reculer pour ne pas être happé par le train. On dirait qu’elle me tend sa cible, comme une cigarette qu’on aimerait écraser, voir passer au travers d’un cendrier.

Mon sexe pointe juste sur ce qui doit être son anus, que je me plais à imaginer, caché par sa magnifique croupe. Je me sens déjà humide dans mon boxer, je sens ce liquide séminal qui coule! Mes yeux et mon esprit sont fixés sur cette jupe qui ne demande qu’à être relevée, arrachée, là toute suite, maintenant, dans le froid et devant tout le monde. Je veux lui ôter ce bout de tissu, pour une seule et unique raison qui devient obsession : lui DEFONCER son anus à grands coups de va et vient. Je l’imagine déjà hurlant sa douleur, pour rapidement laisser place à sa joie et son plaisir, lorsque je lui ferais sauter son petit verrou…

Mais l’appel du chauffeur du train me ramène à la réalité :

- VEUILLEZ LAISSER LES GENS DESCENDRE AVANT DE MONTER, MERCI !

Je patiente avec un réel plaisir, je me frotte encore et encore sous les effets de la bousculade. Elle recule encore d’un pas vers moi, feignant de tomber ; je la saisis par la taille … j’ai senti une attache très caractéristique sur sa hanche. Plus de doutes possible, ma belle porte des bas, non pas des autofixants, mais de vrais bas, tendus sur le haut des cuisses par des jarretelles. J’ai toujours été fan.

-         A mon tour de vous demander pardon, jeune Homme. Merci de m’avoir retenu

 

Je lui souris.

J'ai la tête au dessus de son épaule, elle aime çà, je le sens, je le vois, je le sais. Elle sent mon souffle chaud et cette bite qui tente de la pénétrer à travers ses vêtements.

Soudain son odeur de parfum m’envahit : "Allure de Chanel", elle veut éveiller tous mes sens. Je suis en ébullition comme un volcan, prêt à exploser ! J’imagine ses seins sentant le parfum, je me vois les sentir, les humecter, les renifler, tel un chien prêt à les lécher à grands coups de langue, et prêt à léchouiller ses petits tétons gonflés et durs…

Elle prend son temps elle aussi pour monter la petite marche qui la sépare du train, je l'entends gémir, apprécier.

Et personne ne remarque rien, sauf moi l'obsédé, qui aimerait baiser cette femme mûre, aguicheuse et provocante, sous ses airs un peu "prout prout".

Elle est l'objet de mon désir et de mon fantasme du jour, au moment de monter dans le train, je me colle à elle encore plus, et dans la confusion générale, j'en profite pour glisser ma main sous sa jupe…

Et là, à mon grand bonheur mes suppositions se vérifient, le fantasme rejoint la réalité !!!

J'entends un :

- HummmOhhh!ouiii ! Elle inspire… Hhheuuuhein heuh...

Un susurrement qui en dit long, sur l'état de cette dame qui dix minutes plutôt était vindicative et à bout de nerfs...

Madame est inondée, la ficelle qui lui sert de culotte est complètement trempée de cette cyprine chaude. Malgré les apparences, notre inconnue est déboussolée elle ne s'attendait sûrement pas à une telle "audace".

Tout le monde est là mais personne n'a rien vu, et cela nous excite tous les deux... Elle le sait et je le sais !!!

Une fois dans le train je la suis, je reste collé à elle. Elle m'entraîne tant bien que mal entre les wagons, là ou il y a les toilettes et là où peu de monde pense à se faufiler. Dans ces trains de banlieue à deux étages, les gens pensent souvent à s'agglutiner dans ou devant les escaliers, mais ils pensent rarement à se mettre entre deux rames, par peur peut être...

Tel un chien, je me suis frotté à elle comme j'ai pu, dans la cohue générale. J'ai même réussi à soupeser discrètement un de ces mamelons lors d'une bousculade et à lui pincer son téton, sans qu’elle ne bronche.

Près des toilettes je me dis qu'elle veut se faire prendre à l'intérieur des chiottes, j'étais prêt à dégainer mon braquemart !

Mais non. Madame est trop précieuse pour ce faire "limer" par un jeune inconnu dans les toilettes d’un train de banlieue...

Nous nous retrouvons entre les deux wagons, là ou le bruit est le plus assourdissant. Je suis toujours derrière elle. Madame devait penser que je n'irais pas plus loin que de simples caresses …
Je lui souffle alors à l'oreille, par-dessus son épaule :

- Vous être trempée Madame, je sens même votre forte odeur...

- Vous n'y êtes pas étranger jeune homme, et sachez que j’apprécie. Je dirai même que j’aime çà…me répond elle d'une voix suave et excitante

J'en profite alors pour lui passer à nouveau la main sous sa jupe ; ma main remonte sur ses cuisses, vient chercher l’élastique ou plutôt la lisière de son string et mes doigts se glissent dans une toison très soyeuse. Je viens lui caresser son petit bouton.

Son clitoris est gonflé, il va exploser, elle gémit de toutes parts, mais à l'endroit ou nous sommes confinés personne ne remarque son état second ni même ses yeux révulsés ! Nous sommes pris en sandwich entre la paroi des toilettes et celle du wagon, il n’y de la place que pour nous deux…

Je me dis alors que le lieu est propice pour tenter quelque chose…

A l'approche d'un tunnel, je baisse ma braguette, relève d'un seul geste la fente de sa jupe et d'un coup sec je lui glisse mon gland entre les fesses, tout en lui caressant la vulve !!! Ma bite est idéalement calée entre ses globes !!!

Je la sens tressaillir mais très vite, elle bouge son popotin … Je la lâche, prend mon sexe et le pointe fièrement vers son cul, tandis que d’un autre main, je tente avec maladresse d’ecarter la ficelle de son string. Je m’attends à ce qu’elle mettre un terme à ce jeu d’un instant à l’autre, mais, oh surprise, c’est une des ses mains qui vient se poser sur la mienne. Enserrant mon pieu, très clairement elle vient le positionner contre son anus … Je crois rêver, mais non, les tressaillements du train qui nous balance l’un sur l’autre, les couinements des rails dans les courbes sont autant de preuve que je ne rêve pas.

Elle va doucement ; assez vite, j’ai senti mon gland forcer sa rondelle, mais maintenant, peut être ressentant un peu de douleur par rapport à ce rapport un peu brutal, elle se mordille les lèvres. Elles deviennent encore plus rouges, mais avec le gloss, rien n’y parait.

Puis, comme je l’avais fantasmé, plus je m’enfonce entre ses fesses, et plus elle semble s’abandonner au plaisir…

Bientôt, elle me glisse, elle supplie:

- Ahhh!ahhh!oh oui allez-y Jeune Homme, continuez,  défoncez moi ma petite rondelle !

Elle s’empale avec violence sur mon phallus, elle le suce, elle l’aspire même avec son cul, comme si il s’agissait de sa bouche !!!

Elle prend son pied et moi aussi…. En cadence elle laisse échapper des :

- OuiOuiOui, baisez moi ! BAiiiiiiiSEZ moi Monsieuuur ! Encore ! Encore ! OuiOuiOui COMME ça !!!!

Dans le vacarme et dans la pénombre, personne ne remarque rien. La personne la plus proche de nous est une jeune femme avec un Ipod sur les oreilles, et elle n'a rien vu...

Ses mots me chauffent, son air distingué et sa façon de m’appeler "Jeune Homme" ou "Monsieur", ou même de me vouvoyer m’excite encore plus…

Conforté par ce sentiment d'impunité, je la pilonne alors à grands coups de reins. Sa bague anale est de moins en moins serrée, elle se détend peu à peu sous mes coups de boutoirs, voila mon chibre au chaud serré dans son petit tunnel, et là je me lâche :

- Hé han ! han! han ! T'adores qu'on te sodomise, je savais bien que tu étais une sale garce ! Finit les "Madames", tu veux la sentir ?! Tu vas la sentir ! Tu veux du sexe hein ?!

Elle en demande, elle en réclame, elle me supplie presque ! Mes mots l’excitent encore plus :

- OuiOuiiiiii ! Déchirez moi !! HhsssAhhahhh, déchirez moi l'anus !! Doigtez moi, DOIGTEZ moi comme une chiiiiiienne !!! Jeune Homme, je vous l’ai dis J’AIMmme çaaa aaH !!!

- Alors si tu aimes ça, bouges, BOUGES !!! Encore et encore plus ton gros cul, colle toi ! COLLE TOI !!! Dis que tu aimes  que je te l’ENFONCE jusqu’aux couilles, mon gros dard !!!

- Ouiii, Jeune Homme enculez moi jusqu'au fin fond de ma caverne !!!! Déchhhhirez mon ptit œillet !!!

- Alors écarte ! EééCARTE le MOI  ton derrière ! que je t’embroche sale garce !!!

Là elle s’exécute comme une chienne. Elle passe sa main sous la fente de son tailleur, et attrape avec fermeté le haut de sa cuisse droite pour me tendre ses fesses telle une offrande… Sa main gauche lui permet de se caller contre la paroi du wagon et de cacher son visage rougi et perlant de sueur.

Puis elle me grogne :

- RÉGALEZ moi le trou du cul, Jeune Homme, COGNEZ au fond et REGALEZ-VOUS !

Il n’en fallait pas temps pour que je me déchaîne et que j'exhausse son vœu…

Là elle déguste, elle savoure, c’est une vraie salope, elle le vit comme tel car cela l’excite car elle sait que cela m’excite. Plus je la matraque et plus elle jouit, mes caresses son incessantes, ma main est pleine de son jus, j’ai réussi à enfoncer trois doigts dans son abricot qui se contracte pour mieux apprécier !!! Je sens mon sexe qui la pilonne à travers la mince paroi séparant son vagin de son anus.
Avec mon pouce je constate que son clitoris est gonflé comme jamais, je sens que l’orgasme est proche pour Madame ! Je la caresse frénétiquement et continue à la bourrer avec force et vigueur.

Elle va prendre son pied la petite Dame, là dans ce train de banlieue de 8H26, avec une bite bien fourrée dans son cul, trois doigts actifs dans sa chatte et un pouce qui lui titille le clito !!!!

L’inconnu du quai, à l’allure de gendre idéal est sur le point de la faire EXPLOSER de plaisir !!! Madame la Bourgeoise …

Qui aurait pu penser cela d’une femme aussi distinguée ?! Elle qui donne son joli derrière à un inconnu, là devant tout le monde, sans que quiconque ne remarque quoi que se soit.

Ses paroles crues, son excitation, le frottement et l’intensité de cette pénétration anale, n'ont pas tardées à me faire venir.

Mon gland se contracte au maximum et j'explose presque en silence dans son trou du cul !!!!

- ahhhh,ouiiii, ça vient ! Ça vient !! Ça viiiieeennt !!! aahhhhhh…

J’expulse un jet puissant et incessant qui inonde ses entrailles ; son anus est rempli de mon sperme chaud.
Je l’entends elle aussi :

- OhOui !Ohhouiii !OOOHHOUIiiii !!! Je jouiiis, je JOUISSSS !!Aahhhaaaaaaaaah !!!

Mon SEXE dur, mes DOIGTS agiles, mes MOTS cochons et mon SPERME chaud l’ont fait chavirer, c’est pour elle l’explosion de son volcan sacré, la jouissance, en un mot l’ORGASME !!!

Et je l'entends dans un dernier râle :

- Aaaaaaahhh! Ouiiiii, c’est trop bon....je suis une vraie catain !!!!!

Le liquide chaud l’envahi ses entrailles, elle sent mon foutre qui la souille, il est partout en elle…

Je me retire alors comme je suis entrée, brutalement et sans précautions !!!

Ma main est trempée, et laisse échapper la forte odeur de la mouille de Madame la Garce... Tandis qu’elle tient encore ses fesses ouvertes, de peur certainement de tacher son tailleur, je vois sa rosette se refermer, des gouttes en perlent et viennent couler dans sa raie, et sur l’intérieur de sa cuisse ; ils vont couler sur ses bas.

Le train passe sous un dernier tunnel, je range discrètement ma queue dans son fourreau, et je lèche le bout de mes doigts imbibés de son jus salé, avant de mettre ma main entre ses cuisses ; de mon doigts, je récupère la coulée la coulée de foutre blanc, qui vient perler sur mon index. Je lui propose, et goulûment, elle avale mon doigt et ce qu’il porte.
Nous échangeons à peine un regard, comme les parfaits inconnus que nous étions il y a vingt minutes...

Je la vois là devant moi vidée, titubant presque. Je l’imagine surprise par la tournure des évènements. Son visage se "recompose", elle reprend peu à peu ses esprits…

Je me mets enfin près d’elle comme un quelconque voyageur, qui attend d’arriver en gare.

Elle sort un poudrier de son sac et dans son miroir, s’observe, se repeigne la frange, se passe un petit coup de masque ; je croise son regard, elle me sourit. Elle se recule, et fait mine de s’épousseter, en fait elle remet de l’ordre dans sa tenue.

Personne n’a rien remarqué, j’avais l’impression que cela avait duré une éternité et que l’on s’était donné en spectacle à l’ensemble des passagers du train.

Mais non, rien ! Tout c’est fait dans la plus grande discrétion, les uns et les autres étaient pris par leurs livres, leurs musiques ou juste focalisés sur le trajet et les perturbations…

Le vacarme et la lumière sombre ont pour une fois parfaitement joués leurs rôles. En un mot tout c’est fait dans la totale INDIFFERENCE !!!

Il est 8H42, le train arrive en gare de Saint Lazare, tout le monde redevient pressé.

Au moment de descendre du train, je lâche un :

- Au revoir Madame, passez une bonne journée…

- Au revoir Jeune Homme, elle à déjà bien commencé, malgré les apparences… me répond-t-elle avec un large sourire.

Puis elle rajoute d’un air coquin :

- Et j’espère à bientôt, peut être pendant les grèves !


PS : les mots crus ne sont pas un manque de respect vis-à-vis de la femme, mais bien au contraire. Il témoigne juste de l’esprit bestial que nous avons plus ou moins chacun en nous et surtout il anime le texte et son contenu.

Si cette lecture vous a inspiré, n’hésiter à laisser vos commentaires…

Bien à vous !

Par Libertins49 - Publié dans : Lieux de libertinage ...
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 17:42
Bonjour

les histoires nous plaisent bien : lol

Les histoires de Chris


La quarantaine, j'ai découvert le plaisir d'écrire des récits érotiques en racontant les deux expériences réellement vécues par notre couple au début de notre union.

Depuis, au gré de mon humeur, et de mon inspiration, je livre mes histoires, reflets de mes fantasmes.

http://histoiresdechris.over-blog.org


Bisous coquins
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 15:51

Ce matin ..... après une discussion sur msn avec un de mes contacts, je sentais entre mes cuisses une certaine humidité!!

 
J'étais encore en déshabillé (je sortais presque du lit) donc au niveau vestimentaire  j'étais assez peu vêtue.

 
Je me suis installée sur mon canapé ... moitié assise, moitié couchée. Très vite  j'ai écarté le tissu pour accéder à ma chatte que je sentais avide de sensations fortes.

 
Doucement, j'ai passé mes doigts entre mes lèvres pour les ouvrir ... et là j'ai senti que j'étais effectivement très mouillée .... très vite, mes cuisses furent écartées au maximum.... mes seins sortis du déshabillé ...

L'idéal aurait été qu'un homme puisse me regarder et que je sente son regard me transpercer comme l'aurait fait un sexe en érection.

J'aime cette sensation d'être regardée ... de pouvoir m'exhiber sans retenue devant un homme avide de ce genre de choses.

 
Mon doigt a alors cherché mon petit bouton ... je l'ai senti au premier geste car il était déjà bien dégagé.

J'y ai laissé trainé les doigts  quelques minutes  puis je me suis emparé de mon joujou doré ... ces quelques caresses avec les doigts ont augmenté mon excitation... mon joujou a effleuré  légèrement mon petit bouton... et là une toute petite décharge électrique m'a traversée des pieds à la tête.

Je n'ai pas voulu continuer de peur de jouir trop vite....

Mes mains ont caressé mes seins ... les pointes se sont durcies ...

Je me sentais couler entre mes jambes ... de plus en plus ...mon petit bouton de plus en plus dur aussi bien dégagé maintenant... et vraiment très mouillée

 
J'ai passé mon joujou sur la pointe de mon sein gauche... Il s'est dressé d'un coup. Jai adoré sentir les vibrations sur la pointe maintenant  très dure.

 
Ne résistant plus mon joujou est allé se poser sur mon petit bouton... au fur et à mesure des vibrations de plus en plus fortes  je sentais une vague  de plaisir m'envahir ... en même temps je bougeais les hanches  pour accélérer ce mouvement de va et vient ..... impudique ... et complètement offerte et puis cette vague de plaisir a augmenté en intensité ... le joujou vibrait sur mon bouton comme des doigts avides d'explorer mon intimité ...

Mes doigts ont accompagné quelques minutes le joujou vibrant ... mes doigts étaient complètement imprégnés de mon jus ... et puis là je me suis lâchée car le plaisir m'a envahie telle une onde électrique  des pieds à la tête... faisant réagir des endroits sensibles versant des frissons  sur chaque centimètre carré de ma peau ... durcissant  des pointes fières et arrogantes .. puis quelques secondes après ce violent orgasme  j'ai serré mes cuisses très fort ... mon petit bouton  était contracté entre mes cuisses ... il frottait contre mes cuisses très serrées...

 
Je me suis tordue de plaisir .... mes gémissements se sont transformés en cris  .... cris de plaisir .....cris de jouissance....

 

Très beau texte féminin qu’a eu la chance de recevoir Thomas, qui gère le site http://effleurements.canalblog.com/ … Allez-lui rendre visite !

Merci à N…, l’auteur(e) que nous ne connaissons pas !

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 15:14
Bonjour

alors que nous allions rendre ''visite'' à notre ami webmaster du site Quand les lunettes se font sexy !!! nous sommes tombés sur le message suivant, que nous livrons in-extenso


bonjour,je ne suis pas bien habituer pour écrire sur un blog.

mais je viens vous annoncez une bien triste nouvelle...kraftmode est déceder suite a un accident de la route,il est rester longtemps dans un sale état avant de partir pour toujours..

j'etais son amie et son amour parfois.

il a juste eu le temps de me laisser son mot de passe et son identifiant,afin de faire vivre sa mémoire,je me devais de vous informer. 

Comble du destin,kraftmode a eu son accident en rencontrant de face une voiture conduite par une femme à lunettes.

Pour faire vivre encore un certains temps ce blog,laissez lui un message pour sa mémoire.

il me manque déja,repose en paix.


Alors, salut l'artiste et l'ami ... il faisait vivre à sa façon l'érotisme particulier des femmes à lunettes (de certaines, en tout cas :) )

Carpe Diem

F&C
Par Libertins49 - Publié dans : Autres ...
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Lundi 23 avril 1 23 /04 /Avr 19:05

C’était il y a quelques années … J’étais en IUT dans une petite ville du centre de France. D’habitude, je rentrais chez ce qui me servait de chez moi à pied, quand je n’avais pas de voiture.

Exceptionnellement, ce jour, voyant le bus arriver en même temps que j’arrivais à la hauteur de l’arrêt, je décidais de me laisser transporter …  je ne savais pas jusqu’où … !

 

Je montais dans le bus et allais vers l’arrière m’asseoir en vis à vis de ce que notre compagnie nationale appellerait un carré, 4 sièges se faisant face. Je n’avais qu’un siège en face de moi, et avais allongé les jambes.
Assis (pour ne pas dire affalé), je commençais plus ou moins à somnoler quand deux ou trois stations après,  une femme assez belle, 35 ou 40 ans, monte et se dirige vers moi. Elle est assez grande, des formes soulignées sans être ronde, une petite jupette à volant, de longues jambes déjà bronzées et de belles sandales qui claquent sur le revetement du bus.

J’étais seul vers l’arrière du bus et retirais prestement les jambes que j’avais étendues devant moi. Mais bien sûr, voyant les 4 sièges libres, elle se met comme moi, dans le sens de la marche, mais de l’autre coté du couloir.
Un homme d’un certain âge (la cinquantaine) est monté derrière elle … pourtant il reste sur la plateforme, se dandinant d’un pied sur l’autre …

Arrivée à ma hauteur, elle met un pied sur le rebord du siège et se penche pour refaire le laçage de sa sandale. De biais, j’eu une vue assez libre sur  son décolleté et ses petits seins que rien ne couvrait.

Elle me regarda et échangea un sourire ; Sa bouche était ourlée de rouge, et ses yeux joliment maquillées ; je me dis que j’avais bien fait de prendre le bus ce soir.

Quand elle s’assit, l’homme se décida à venir et il s’assit en face d’elle (il tournait le dos à la marche).

La belle s’était assise contre la glace et avait extrait un magasine de son sac … elle se mit à le lire en posant une jambes tendue sur le siège, l’autre légèrement remontée et le pied appuyé sur le rebord …
Je n’étais pas au bout de mes surprises ; en effet, il ne faisait aucun doute que cette position permettait à un voyeur bien positionné de se rincer l’œil … Mon voisin semblait avoir compris, mais il restait trop en biais … il avait beau faire semblant de chercher dans sa pochette, je ne sais ce qu’il vu mais il était rouge cramoisi … pas que de chaleur !

Il du descendre un peu plus loin (et moi j’aurais déjà du quitter le bus … mais je restais là comme hypnotisé … je ne savais comment m’y prendre, mais je voulais voir.

Aussi, je me levais et feins de regarder le plan des lignes sur la plateforme centrale, puis ke revins vers ma belle …De loin, j’avais effectivement pu voir que le vue devait être sympathique J

Quand je revins, je me rassis à la place de l’homme. Elle m’accueillit par un nouveau sourire et posa le magazine sur sa droite …Elle souffla, sa lèvre inférieure guidant le flot d’air qui fit battre ses mèches … Et elle prit les volants de sa jupe et se mit à les agiter pour se faire de l’air tout en me glissant « pfouuuh … qu’est-ce qu’il fait chaud ce soir ! … »

J’eu alors la confirmation que ce que je supputais était vrai … cette belle femme était nue sous ses vêtements, elle n’avait pas mis de culotte non plus !
Elle arborait une touffe châtain clair (alors même qu’elle virait sur le blond, ses cheveux  étant pour la plupart teints en mèches blondes …). Je vis les poils frisottés et ce qu’ils semblaient cacher … Cela avait été fugace, tellement je fus surpris et me senti gêné. J’aurais pu maintenir mon regard mais ne le fis point, malgré le fait qu’elle continuait à s’aérer comme si de rien n’étais. Elle passa un regard circulaire vers l’arrière du bus et dus constater que nous étions seuls puis elle m’interpella « cela ne vous plait pas ? »

Je fis mine de ne pas comprendre, mais elle ne se laissa pas démonter

«  ce que vous avez aperçu jeune homme … cela ne vous plait pas ? »

Je dus balbutier un « si … si … »

Elle se leva et vint s’asseoir sur mes jambes …. Je rêvais … elle fit mine de s’intéresser à ce que je lisais aussi (des cours d’électro-technique … on fait plus sexy .. mais cela devait me servir d’alibi).

Elle se réajusta quasi immédiatement, ce qui eu pour effet, volontaire, de lui faire remonter sa jupe qui vint épouser mes jambes et le bas de mon ventre … elle était fesses nues sur mon short … et je ressentais une érection douloureuse …

Elle me dit alors

«  ah … me voilà rassurée ... je croyais que je vous laissais indifférent » tandis que d’une main experte elle venait me branler dans mon short léger … je crus défaillir et en tout cas décharger dans mon slip … elle du le sentir, car sure d’elle-même, elle me le serra assez fort et me dis

« Voyons … retenez vous, jeune home … nous avons mieux à faire »

Ce faisant elle m’avait dezippé et était en train de me branler dans mon caleçon, qui contrairement à un slip ne retenait rien de mon érection … elle trouva assez vite la fente du caleçon et extirpa mon membre … Ceci étant, ce n’est pas une chose facile que de l’extirper dans ces conditions-là, amis tous les deux nous nous y employons …

Nous n’échangeons aucun mots … mais ses yeux, son visage, sont expressifs … elle semble aimer, et me regarde profondément parfois, tandis que parfois elle semble s’abandonner au loin

 

Je ne savais que faire, et n’avais qu’une crainte … m’en mettre partout ! J’avais une co-location avec un copain, et deux filles de Tec de Co, et je ne voyais pas rentrer souillé, d’autant que plus que le bus au rythme de ses arrêts filait et m’éloignait de chez nous …

 

Je n’avais pas grande expérience, mais senti à la douceur que je sentis sur ma verge, qu’elle m’avait conduit devant son sexe … Il devait être humide car je le sentais chaud et glissant …

Après tout, nous étions seuls dans cet arrière de bus, et je me dis que … qui ne tente rien, n’a rien :  je lui passe ma main sous sa jupe. Son sexe dégouline, et effectivement je sent mon gland sur lequel elle est en train de se caresser.. Elle est trempée, elle mouille un maximum ! Moi, je ne tiens plus ! Mon Dieu, comme c’est bon ! Pendant quelques instants, je reste avec un air béat et je ne sais plus quoi faire.


Au début, le mien se frotte au sien. Elle aime, elle adore. Je ne suis pas en reste pour autant car j’apprécie énormément cette position.
Toujours assise sur mes genoux, elle décide de simuler relacer ses chaussures. Elle se baisse, ce qui me permet d’avoir une vue merveilleuse du un cul adorable … sa fente est rose, gorgée de plaisir, luisante de désir … mon gland aussi.

Quand elle fait mine de se rasseoir, elle saisit ma hampe à la base de sa main et vient présenter mon sexe à l’entrée de son orifice. Elle descend doucement ; je la pénètre, elle est dégoulinante.
J’ai quand même un peu de mal à rentrer : est-ce la position ? Toujours est-il que je fini par rentrer, complètement … en fait, c’est plutôt elle qui s’est assise sur ma bite !


Dans un bus, il n’est pas facile de bouger sans éveiller les soupçons.

 

Je la vois regarder vers l’avant, assez souvent tandis que moi, je me dis que pris pour pris, autant en profiter … elle me dit « il n’y a presque plus personne, et ils regardent tous vers l’avant ». C’est comme un aveu, comme un signal qu’elle veut poursuivre, encore et encore.


Pour simuler les mouvements, elle trouve une combine qui consiste à faire semblant de se réajuster. Dans ce mouvement là, mon sexe l’empale de plus belle. Elle aime. J’adore. Je suis au bord de la jouissance, mais je me retiens.


Quand, à un moment, elle me glisse « le chauffeur regarde souvent dans son retro … il doit soupçonner quelquechose ! » … Je me dis que c’en est fini de la chevauchée fantastique, que la belle va me quitter et que je resterais jusqu’au soir avant de me finir à main !

 

Mais pas du tout ! J’ai a faire à une vraie nymphomane (l’était-elle habituellement, ou bien vivait-elle là exceptionnellement un fantasme à fond ??? je ne l’ai jamais revue sur la ligne dont j’étais devenu un habitué en fin d’a-midi …)

 

Elle se lève légèrement (pas trop, cela met on cul et ma tige à l’air !) et vient présenter mon engin à l’entrée de son petit trou, par derrière. Je n’y crois pas … cette femme, de celles qui peuplent mes fantasmes de jeune homme, et en train de me donner son cul. Ce n’est pas ma première sodomie, peut être la seconde seulement (je ne me rappelle plus … la première étant avec une copine, quelques mois plutôt qui avait voulu ‘’essayer’’)

 

Elle se rassoit, ni surprise, ni effarouchée. Cette fois-ci la aussi, la pénétration s’annonçait difficile. Deux fois peut être, mon gland se « tordit » légèrement à l’entrée de son étoile qui ne voulait se faire déflorer. Mais elle maintint la pression, et assez sure d’elle-même, elle continue à pousser : mon gland fit son entrée dans son anus, comme s’il franchissait une étape (je me le rappelle comme si c’était hier !).
Elle pousse encore. Une partie de mon sexe vient encore de s’enfoncer dans son anus, et elle m’utilise par des rotations de droite à gauche, comme si je la taraudais ..
Pendant ce temps, elle a saisi ma main qui était restée sous sa jupe et m’a guidé ; en fait, elle se branle à travers moi : ma main titille son clitoris qui roule entre mon pouce et mon index.
Tant que j’y suis, les autres doigts de ma main en profitent pour passer le long des lèvres. De temps à autres, l’un de mes doigts s’aventure entre les lèvres et pénètre aussi profondément que possible son vagin.


Je vois qu’elle a beaucoup de mal à ne pas crier. Elle se mord les lèvres pour ne pas le faire, mais quand je donne un grand coup de rein pour enfoncer complètement mon sexe dans son petit trou serré et que je joui en elle, elle pousse un petit cri ; j’ai l’impression que tout le monde va avoir entendu, et jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule, je vois effectivement une dame d’un certain age marquer ce qui semble de l’étonnement. Je pense qu’elle n’a pas compris … en revanche, je croise le regard du chauffeur, qui lui a du saisir ce qui se passait !

 

Je sens le rouge me monter aux joues, et voit qu’il en est de même pour elle.

 

Je sors délicatement de son anus. Du sperme doit couler le long de ses jambes lorsqu’elle se met debout, pour se rasseoir à sa place car elle passe un doigt sur sa cuisse pour le ramasser et se délecte de ce doigt humide. Une vraie salope (ce terme est élogieux pour moi, et j’admire ces femmes à la sexualité animale, dont la touche masculine s’exprime.


Entre temps, je te tente de rentrer mon sexe dégoulinant de sperme et de mouille dans mon caleçon, ce qui provoque immédiatement une tache sur mon short … en fait, je pense que tout autant que les secrétions de ma tige, c’est la mouille qui a dégouliné du sexe de ma belle quand elle me chevauchait qui m’a trempé.

Aïe. Comment vais-je rentrer quitter le bus dans cet état ?

 

Un arrêt est en vue, et elle se précipité soudainement vers l’avant pour écraser le bouton ‘’arrêt demandé’’ tout en me lançant « Je descends là ! »

 

Je me demande si ce n’est pas un rêve … mais non, mon short reste là pour en témoigner.

 


Quand le bus redémarre, nous la dépassons et elle me fait de nouveau un très beau sourire et un petit signe de main ….

 

 

Cette femme a sans nul doute participé à ma recherche du plaisir charnel, à ce coté cérébral qui m’habite.

Je ne sais si elle était coutumière du fait … après j’ai flippé, car nous étions au début des années Sida et nous avions eu cette relation sans préservatifs … Test HIV, nouveau test trois mois après … rien … ouff ! il ne reste de que merveilleux souvenirs !

 

Sortez couverts !

Par Libertins49 - Publié dans : Lieux de libertinage ...
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