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Libertins Angers

Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 02:59
Très beau texte que nous devons à Marie Christine, à qui nous temoignerons nos remerciements et que nous vous livrons sans aucun ajout, ni correction ...

Il nous plait tellement comme ceci !

J’ai découvert il y a quelques semaines votre site, sur lequel je viens lire tous les jours. Je sais bien que l’imaginaire y tient une grande place. Je suis toutefois étonnée que les histoires d’échangisme, de cocufiage et autres variations sur le couple tiennent une part aussi vaste dans le contenu des textes. Mon modeste exemple témoigne pourtant qu’on peut vivre une sexualité épanouie, voire débridée, dans le contexte le plus classique de la vie à deux. Je m’appelle Marie-Christine (mais mes amis m’appellent Maguy), j’ai 49 ans, je suis mariée depuis vingt-cinq ans, j’ai une fille de 22 ans, je travaille et d’un certain point de vue, j’ai une vie tout à fait ordinaire. Et pourtant, avec mon mari, nous vivons le sexe comme peu de gens qui restent confinés dans leur train-train.


À dire vrai, notre sexualité n’a vraiment décollé qu’il y a quatre ou cinq ans, quand notre fille a quitté le foyer familial pour poursuivre ses études dans une autre ville. Nous nous sommes retrouvés face à face et nous avons compris que nous risquions de tomber dans la routine et dans la paresse sexuelle, laquelle annonce le vieillissement. Nous avons alors décidé qu’il était temps de vivre pleinement notre vie de couple avant que les effets de l’âge ne nous atteignent.


Tout a commencé un samedi soir quand mon mari m’a proposé de regarder une vidéo porno qu’il avait louée. Je ne suis pas bégueule, mais sa démarche m’a surprise : c’était pour moi le signe d’une libido en berne et j’étais assez réticente.

On regarde le début et si ça te déplaît, on arrête tout, me dit-il.

J’ai toujours aimé faire l’amour mais la vision de ces copulations sportives, presque féroces, fut pour moi une révélation. Ce festival de fellations, de sodomies, de partouzes, me remua tellement les entrailles que je ne pus m’empêcher de mettre la main entre les jambes de mon mari. La suite, vous la devinez : nous nous sommes mis entièrement nus et nous avons copulé comme de jeunes fous sur le canapé du salon en jetant parfois un œil sur la télé restée allumée. J’étais surexcitée et mon mari eut toutes les peines du monde à ne pas éjaculer précocement. Nous nous sommes couchés crevés, mais heureux.


Le lendemain matin, nous décidâmes de renouveler l’expérience et la séance vidéo du samedi devint la règle, suivie de la même partie de jambes en l’air. Parfois, les films étaient franchement décevants et nous les abrégions pour passer à l’acte.


Pris d’une frénésie de bricolage, mon mari décida d’équiper notre maison de plusieurs miroirs : trois dans la chambre dont un au plafond, un dans le salon près de la TV. Nous étions devenus nos propres voyeurs. Je jouissais de voir ses petites fesses en mouvement pendant qu’il me besognait et lui s’excitait de voir mes seins ballottés par ses coups de boutoir ou de découvrir mon visage marqué par le plaisir quand il me possédait par derrière. Nous étions comme deux jeunes gens qui découvrent l’amour. Nous décidâmes de perdre du poids, quoique je tenais à conserver mes rondeurs de femme mûre. Il s’inscrivit dans une salle de gym pour retrouver sa tonicité musculaire, si bien qu’il devint de plus en plus sec, de plus en plus dur, de plus en plus endurant. Je devins folle de son corps.


Je pris goût à des jeux qui, jusqu’alors, relevaient de l’exception. Je raffolais de la fellation et après quelques réserves, décidais d’avaler le sperme quand parfois mon mari ne pouvait se retenir. J’apprécie désormais sa chaude saveur salée. Je découvrais aussi la sodomie, après l’avoir longtemps repoussée. J’en suis même devenue une prosélyte auprès de certaines collègues de travail suffisamment intimes pour que nous nous racontions nos ébats amoureux. Elles sont d’ailleurs étonnées de constater à quel point je verbalise facilement le sexe, moi qui étais alors discrète sur le sujet. Pour les plus jeunes, je suis devenue un exemple à suivre et un réconfort pour l’avenir.


Après le tournant cité plus haut, mon mari a eu envie de m’entraîner dans des expériences diverses, constatant mes bonnes dispositions. Notre jeu favori consiste à faire l’amour dans des endroits un peu incongrus plutôt que de nous accoupler systématiquement dans le lit conjugal. Parfois, quand nous allons au restaurant, à la fin du repas, nous nous donnons rendez-vous dans les toilettes pour dames. Nous nous sommes déjà bien préparés en nous masturbant mutuellement sous la table. Notre excitation est telle qu’il n’y a pas besoin de préliminaires. Je pose culotte et mon mari-amant me prend en levrette pour une pénétration brève mais fougueuse et intense, Orgasme garanti. Le plus difficile est de ne pas crier trop fort…


Un autre de nos plaisirs est de faire l’amour en pleine nature. On gare la voiture, on emporte un drap dans un sac et nous nous suçons, nous nous léchons et nous nous mangeons sous les arbres avant de nous délivrer de nos désirs par une pénétration très attendue par l’un et l’autre. Ces ébats bucoliques nous ont fait un bien fou. Mon mari est davantage capable de maîtriser son sperme. Quant à moi, j’ai d’abondantes sécrétions et je n’hésite plus à m’exprimer de manière très crue pendant que mon mari me fouille inlassablement.


Un jour d’été, nus sur une plage de l’Atlantique, nous avons observé un couple en train de faire l’amour sans la moindre gêne, et l’envie nous est venue aussitôt de les imiter. Nous sommes montés sur une dune à l’abri des regards, du moins le croyions-nous. Car à peine avions-nous entrepris notre 69 favori qu’un voyeur est apparu. Je le vis la première, étant sur mon mari, mais je poursuivis ma succion comme si je n’avais rien vu. C’est alors que je remarquai que le voyeur avait sorti un téléphone portable. Je l’interpellai avec vigueur :

Regarde si tu veux mais pas de photo !

Mon mari s’étant levé, l’autre détala sans demander son reste. N’empêche que je venais de faire une autre découverte : j’avais aimé être regardée en train de faire l’amour…


Pour nous, l’ingrédient principal de nos rapports est la surprise. Un après-midi que je ne travaillais pas, alors que je me promenai en ville, je sortis mon téléphone portable et tint ce langage à mon époux

Chéri, je fais les boutiques, je suis toute nue sous ma robe, j’ai envie de toi maintenant, tout de suite, dans ton bureau ; si tu veux j’arrive et tu as intérêt à être à la hauteur.

Cinq minutes après, je passai devant les secrétaires et entrai dans son bureau qu’il ferma à clé après avoir donné les consignes : « Don’t disturb ! ». Nous fumes nus en dix secondes et après un rapide 69 sur la moquette, il me posséda avec vigueur sur le fauteuil réservé aux visiteurs, un coup à l’envers, un coup à l’endroit. Je retins mes cris le plus longtemps possible mais à la fin, ce fut plus fort que moi, je laissai échapper un miaulement parfaitement explicite. Quand je sortis du bureau, les secrétaires me regardèrent par dessus leurs lunettes et je passai devant elles avec la fierté de la femelle magnifiquement honorée par son mâle. Je l’avoue, je n’étais pas mécontente de leur avoir montré que je restais la destinataire prioritaire de la virilité de mon mari.


Ce goût retrouvé du sexe nous a parfois mis dans des situations délicates. Un jour, alors que je faisais la cuisine pour le déjeuner, mon mari passa derrière moi pour m’embrasser dans le cou, empaumer mes seins, titiller leurs pointes et me faire sentir son pénis raidi sur mes fesses que j’ai charnues.

J’ai envie de te baiser ici, sur la table, tout de suite, me dit-il.

Je n’étais pas prête du tout à ça, occupée que j’étais à touiller dans une marmite, mais quand mon mari mit son doigt dans ma fente et mon anus, je craquai complètement. Je fis passer ma robe par-dessus ma tête, me débarrassai de mon slip et de mon soutien-gorge, et m’étalai sur la table, cuisses grandes ouvertes, offerte, cependant qu’assis sur une chaise, nu lui aussi, il plongeai son mufle dans mon bas-ventre déjà trempé. Quand il me pénétra, je jubilai tellement que je me mis à crier « oh oui ! Oh oui ! » pour célébrer sa puissance. C’est alors qu’avec stupéfaction, je vis derrière lui notre voisine sur le seuil de notre cuisine, avec un panier rempli des pommes de terre de son potager qu’elle était venue nous offrir. Elle avait confondu « oh oui ! »« oh oui, entrez ! ». Mon mari n’avait rien vu et continua à me pilonner en m’écartant les cuisses pendant que la voisine, cramoisie, battait en retraite en s’excusant. Mon orgasme fut particulièrement violent ce jour-là, à la grande joie de mon mari qui n’apprit que plus tard l’incident. Dans l’après-midi, je rendis visite à la voisine, une dame charmante qui comprit la nature du malentendu… et m’avoua avoir envié ma situation, si bien qu’une vraie complicité est désormais établie entre nous.


Une que notre épanouissement sexuel a surprise, c’est notre fille. Elle m’a souvent demandé pourquoi je me mettais à porter des vêtements beaucoup plus « sexués » que par le passé, notamment des décolletés profonds mettant mes seins en valeur ainsi que des sous-vêtements coquins.

Tu n’aurais pas un amant, par hasard ? me demanda-t-elle un jour.

SI, et tu le connais bien : c’est ton père, lui répondis-je.

Elle comprit quelques jours plus tard ce que je voulais dire. Venue dormir à la maison avec son petit ami, elle occupait une chambre contiguë à la nôtre. Rentré tard, le jeune couple ne put s’empêcher de faire l’amour et ma fille se laissa aller à un orgasme particulièrement sonore, ce qui nous réveilla, mon mari et moi. Au matin, nous décidâmes de donner une petite leçon aux tourtereaux qui dormaient profondément. Je réveillai mon mari en douceur par une fellation qui le mit rapidement à une longueur plus que satisfaisante et je me mis à le chevaucher en faisant bien craquer le lit par d’amples ondulations de mon bassin et en commentant mon plaisir autant que sa performance. Stimulé, il m’informa clairement qu’il allait me sodomiser (en fait, il exprima un terme beaucoup plus cru) et je me mis à bramer de plaisir sans retenue. Plus tard, au petit-déjeuner, ma fille me prit en aparté :

Bon, j’ai compris la leçon, ce n’était pas la peine d’en rajouter, vieux cochons que vous êtes.

Mais depuis ce jour, notre futur gendre voue à son beau-père putatif un respect certain, et à sa belle-mère une considération amusée…


Comme tout un chacun, nous nous livrons peu à nos jeux pendant une semaine consacrée au travail et qui nous laisse le soir dans un état peu favorable à l’expression de la sexualité. Nous nous rattrapons le week-end et surtout pendant les vacances. Sur la route de notre villégiature, au lieu d’aller au restaurant ou au self-service, nous nous échappons pour pique-niquer dans un coin tranquille. Après le déjeuner, nous nous offrons une petite sieste crapuleuse qui nous permet d’attaquer la suite du parcours parfaitement détendus. De même, durant nos randonnées, nous nous accordons une halte pour assouvir nos désirs sous le soleil. C’est un moment d’intense volupté.


Chaque année, nous passons une petite semaine sur un bateau (un petit quillard avec un habitacle et une couchette) prêté par des amis en Méditerranée. Ce sont des jours d’un érotisme intense, pour peu que le soleil soit de la partie et que la mer soit calme. Nous vivons nus à bord. Mon plaisir est d’être prise par derrière, les yeux face au grand large pendant que mon homme me rend hommage. En rentrant au port, nous avons été abordés par un couple qui nous avait observé à notre insu avec des jumelles. Il voulait nous inviter chez eux pour une partie à quatre mais nous avons refusé. Mon mari était même assez en colère du procédé.


Un jour, mon mari me demanda si je ne serais pas tentée par une expérience échangiste. J’avais moi-même été sollicitée par une collègue particulièrement délurée, à laquelle j’avais eu l’imprudence d’avouer le plaisir que je prenais au lit avec mon époux. Je lui avais alors répondu :

Pourquoi veux-tu que j’aille vers des hommes dont je ne suis même pas sûre qu’ils seront assez raides à mon goût ? Pourquoi veux-tu que j’aille vers des queues gainées de latex alors que j’en ai une bien chaude, bien nature et bien consistante à ma disposition 24 heures sur 24 ?

J’ai fait la même réponse à mon mari. Je ne dis pas qu’un jour, peut-être… Mais en attendant, vive le duo légitime !


et nous qui voulions franchir le Rubicon et nous encanailler avec d'autres ... ! :)
Nous ne pouvons attendre que la petite dernière quitte la maison ... !!!

Qu'en pensez-vous ?

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 7 décembre 5 07 /12 /Déc 15:18
Lé précédent article semble vous avoir plu ...

Aussi, nous partagons avec vous une très belle video, grace à la ''demande d'amitié'' envoyée par son auteur qui nous a fait les découvrir ... Nous avons trouvé que cette magnifique video était assez compatible avec cette notion de Suggestion

Elle répresente quelquechose de très fort pour nous, tout ce que l'on aime .... un très beau cadre, une magnifique femme aux très longues jambes et aux hanches parfaites, de belles chaussures, un jeu de jambes (hummm), une délicieuse chorégraphie autour du port du string  ...

La mise en scène, cette couleur sépia, l'usage du contre-jour et de cette lumière voilée n'en sont que plus bel écrin

On adore






et vous ??

Merci à eux !
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 7 décembre 5 07 /12 /Déc 13:14

Nous vous avons voilà quelques jours présenté le texte de Florence ‘’Florence et Denis ... de franches similitudes !’’, qui racontait comment elle avait cédé à son fantasme, ou peut être plutôt, consentante, à celui de son coquin de mari ...

Voilà la suite …

 

Le fantasme de mon mari avait réveillé en moi la femme amante et j'avais du mal à me reconnaître.

A peine réveillée le dimanche matin, mon esprit batifola entre réalité et rêve. Pouvoir retrouver le plaisir de la séduction avec un homme jeune et fort mignon, le tout devant son mari et avec son assentiment, est vraiment un plaisir que je souhaite à toutes les femmes.

 

J'ai passé une bonne partie de la matinée à flemmarder au lit en parcourant ma chatte de mes doigts. Rejoignant la cuisine, je retrouvais Denis qui semblait aussi d'excellente humeur. Un gros bisou dans le cou suivi d'une caresse sur mes fesses …  je n'avais pas senti de si gentils gestes un dimanche matin depuis longtemps !

Je fis remarquer à Denis que la soirée avait vraiment un effet très agréable, marquées par ses petits gestes et ses marques d'amour.

 

Nous avons passé la journée complète à reparler de la soirée et à faire l'amour, puis nous retournâmes chercher notre bout de chou


Lundi matin, après avoir emmené ma fille à l'école, je me surpris : mes pensées allaient à mon amant.

Je vérifiais mon téléphone et commença à attendre fiévreusement son appel.

Cette attente paraissait interminable et n'y croyant plus, c'est le lendemain vers 16h que retentit le ding d'un texto.

Étant relativement à l'écart des regards au bureau, je sautais sur mon téléphone et tremblante, j'ouvris le sms.

« slt kokine tu te souviens? »

Quelle question, je n'avais pensé qu'à ça depuis 2 jours !

 

 Je décidais de me faire un peu désirer mais n’y pouvant plus, très vite repris le telephone et tapais ma réponse.

 « gros gros bisous … appele moi a 18h j'attends ta voix kokin  »

Immédiatement,  je reçus

’Ok, cokine ..’’

 

17H45 je file dans ma voiture et je choisi d'aller attendre l'appel sur un parking proche.

J'ai le ventre qui me brûle, j'attends sa voix ses mots mais l'attente n' est pas longue et la sonnerie me sort de mon rêve.

La voix de Nico est toujours aussi craquante et, complètement hypnotisée, je réponds à toutes ses questions même les plus osées,

La seule chose que je dois lui refuser est de le rejoindre chez lui malgré son insistance puis je rentre à la maison.


Une fois Camille au lit, je rejoins Denis au salon et lui parle de mon coup de fil de l'après-midi. Un peu surprit, Denis me demande comment il a eut mes coordonnées si vite.

Cette question me soulage et je peux enfin avouer lui avoir donner mon numéro samedi soir. Denis ne laisse rien paraître mais je sens que le fait que je m'attache au jeu et à un partenaire en particulier ne devait pas être prévu.

Après un long blanc, j'ajoute que si nous voulons aller plus loin, ce sera avec Nico ou rien.  Denis semble pensif, puis me regarde en disant que la soirée de samedi a réellement été une expérience qu'il souhaite renouveler. Qu'il comprend que je souhaite éprouver du désir dans ces rencontres mais aussi qu'il a un peu peur pour notre couple. Que je me lie avec ce Nico ne le gêne pas si rien ne nuit à notre couple et si je ne le lui cache rien.

 

Me sentant un peu fautive pour le téléphone, je lui demande pardon en lui promettant que ce serait la dernière fois.

Très excitée, je lui avoue l'invitation pressante de mon amant cet après midi et mon envie de le rejoindre un soir, avec sa permission. Denis comprends notre envie commune et me permet de passer le voir à la seule condition d'être prévenu et que je lui raconte tous les détails en rentrant. Ces mots me rendent folle et nous sommes partis nous coucher tôt sans pour autant dormir tout de suite ….
Le lendemain, Nico m'appela vers midi pour me souhaiter bonne journée et d'autres mots plus personnels. J'attendais son invitation avec impatience mais elle ne vint pas. Il devait partir en début de soirée sur Paris pour son travail. Je lui ai demandé s'il était fâché que je ne sois pas passé la veille et je fus contente d'apprendre que nous pourrions nous voir le lendemain si j'étais disponible.

Le soir j'ai fais part à Denis de cette invitation en lui demandant s'il voulait toujours jouer.

 

Son sourire coquin m'a rassuré sur ses intentions et pour en avoir le cœur net, j'ai appelé Nico devant lui. La conversation fut brève, mais sans quitter Denis du regard, je lui ai dis que je m'étais arrangé pour mercredi et que s'il le souhaitait, je lui réservait la soirée.

Nico accepta et me donna rdv dans un pub vers 20h00.

 

Le téléphone posé, Denis me serra dans ses bras et nous avons beaucoup parlé ce soir là, des risques de notre petit jeu mais aussi du plaisir que cela nous procurait.


Le mercredi a passé très lentement pour ma part. Rentrée à la maison, j'ai préparé un dîner sympa pour ma puce et mon homme avant d'aller me préparer.

Je choisit un ensemble de lingerie gris bleuté très classe, une jupe damier en tweed, un pull très échancré bordeaux et des escarpins, le tout faisait très BCBG.

Puis je me suis maquillée et parfumée. La porte s'ouvrit lorsque je finissais.

Denis me regarda et me sourit. Je ne souhaitais pas parler de la soirée, alors, sans un mot je l'ai embrassé et lui ai dit « bonne soirée » comme si de rien était.

 

Arrivée devant le pub, j'ai hésité un peu avant d’en pousser la porte. Mon ventre était en transe mais j'avais peur des lendemains. Prenant mon courage a deux mains et guidé par la tentation, je suis entré.

Nico était déjà là et sourit en me voyant entrer. Je l'ai rejoint. Arrivée à la table, j'ai hésité un instant avant de lui faire un smack. Il a remarqué cette hésitation et m'a demandé si j'avais tenté de l'embrasser à pleine bouche. Nous avons rit et je me suis assise à coté de lui.

Après ses compliments sur ma tenue, nous avons discuté en buvant quelques verres et en dégustant des tapas … ses mains caressaient mes cuisses et je me donnais discrètement à ses caresses. Il joua un instant avec l’attache d’une jarretelle qu’il avait senti sous ma jupe, mais – à mon grand regret car j’étais réellement autre à ce moment, bouillante .. – il ne vint pas glisser sa main dessous ! Il me félicita toutefois de nouveau, cette fois pour la beauté de ma lingerie que sa découverte lui laissait imaginer … Il me demanda ‘’C’est pour moi …’’ Je sais que si je ne répondis pas, ma gène de petite fille prise en faute valait tous les assentiments !

Au bout d'une heure environ,  il m'a proposé d'aller chez lui … ce que j'attendais depuis déjà un moment.

Je lui ai dis oui et je me suis levée pour montrer ma volonté. Il habitait à deux pas et nous nous y sommes rendus à pied.

Au coin de la rue il me prit dans ses bras et m'embrassa à pleine bouche. J'attendais ça depuis samedi, … j'ai failli m'évanouir . Il embrassait divinement bien.


Puis nous sommes arrivés chez lui et il me fit m'asseoir sur le canapé. Son appart’ était petit, mais très bien décoré et chaleureux.

Nico apportait quelques apéritifs et s’assit à coté de moi. Puis, après qu’il m’ai servi et alors que nous trinquions, de sa main libre, il vint sur ma cuisse et me dis à l'oreille ‘’t'es encore plus bandante que je ne pensais et me rappelais. J'aime bien les petites bourgeoises qui se la joue un peu pute ici ‘’ Ses mots étaient crus ! C’était comme quitte ou double … j’aurais pu me sentir blessée d’être ainsi comparée … mais il avait fait Double !

Ses mots me firent chavirer. Je l'embrassais fougueusement :  nos langues se cherchaient et se collaient. Sa main remontait sur les bords de mes bas et continuaient vers mon string et sa respiration s'accentuait.

Je lui répondit ‘’ tu l'as pour toi ce soir, ta petite pute. J'ai attendu trop longtemps ‘’. Je ne me reconnaissait pas, et ses yeux pétillaient, un brin égrillards. Ses mains remontaient cette fois sous mon pull qui, vite est passé sur ma tête et a rejoint le sol. Je me laissais déshabiller, caresser, peloter comme on aurait dit quand j’avais 15 ans

J'étais sa chose, je lui appartenais, j'avais envie de lui, de sa queue . Comme s’il avait lu en moi, il a empoigné mes cheveux et comme cela, a dirigé ma tête, me poussant à m’incliner, vers son sexe. Je me suis mise à genoux entre ses jambes et j'ai défait sa braguette … je n'avais que ca en tête.

J’ai sorti son sexe qui a jailli comme un diable de sa boite, et l'ai prit en bouche. Il me tenait les cheveux, faisant aller et venir ma tête et me lançait. « Bouffes moi la queue, salope ».

 

Je n'étais plus moi même et je dévorais sa queue comme jamais encore je ne l'avais fait.

 

Il se leva et fit descendre son pantalon qui rejoignit mon pull puis m'ordonna de m'occuper de ses couilles puis de son cul ce que je fis d’une main un peu coquine, sans rechigner. Puis, il me fit relever et dégrafa ma jupe.

Je finis de l'enlever l’enjambant quand elle tomba sur mes chevilles et je me retrouvais en dessous sexy devant l'homme à qui je savais ne rien pouvoir refuser.

‘’ Tu es sappée comme une belle petite salope, tu le sais? ’’

‘’ oui, je savais que tu aimerais. ‘’

 

Il me prit par la taille et me renversa dans le canapé. Il continua mon effeuillage lentement entre caresses, baisers et insultes.

Je me suis vite retrouvée nue, débarrassée de mon SG et de mon string, seulement habillée de mes bas, de mon porte jarretelles et de mes escarpins.

Il me tendit une capote en m'ordonnant de la lui mettre. Puis après qu’il m’eu fait mettre à quatre pattes sur le canapé, je sentis son sexe me pénétrer en levrette.

 

Il était violent et ses coups me projetaient en avant contre le dossier. Ma chatte était remplie et je le sentais buter en moi à chacun de ses mouvements. Je sentis un doigt caresser mon anus et il ajouta « Tu aimais ca samedi. Tu aimes toujours? »

Sans acquiescer, mais sans montre d’opposition, je le laissais s'introduire en moi par là aussi et il continua à me caresser. Sa bite dans ma chatte et ses doigts me laissaient sans voix. J'étais sa chose, sa pute.

Soudain il se retira et posa son gland sur mon anus.

‘’ Je veux t’entendre me dire que tu aimes ca ‘’

‘’ oui, j'aime ca ‘’

‘’ MIEUX QUE CA PUTAIN ‘’

 ‘’ Oui Nico, j'aime ca ! encule moi fort ’’

 

 Il s'enfonça en moi doucement, prenant soin de moi ce que j’appréciais tant je redoutais le contraire au timbre de sa voix et aux mots employés. Un fois entré, il fit une pause puis à ma demande, repris le mouvement. Il me pilonna fort, en m'insultant et en me tirant parfois par les cheveux pour me cambrer sur sa queue.

Au bout de quelques minutes, il se retira et me fit mettre à genoux devant lui en retira la capote.

 

Machinalement, je me mis à sucer sa queue, vraiment comme une salope avide de sexe toujours, malgré et peut être grâce à ses commentaires crus. J’étais, je l’ai déjà dit, transformée, sans aucun tabous … libéré peut être du rôle social que je tenais vis-à-vis de mon mari … de certaines habitudes, …

 

Sentant son plaisir monter, il me tira en arrière puis déversa son sperme chaud en longues giclées sur ma bouche, mes joues et mon front. Après quelques secondes où il reprit ses esprits, j'étais encore a ses genoux nettoyant méthodiquement son sexe qui avait réduit et que je tenais entièrement en bouche quand il me dit

‘’ J'ai jamais vu une salope comme toi. Ton mari a de la chance ‘’

 

Je me suis allongée sur le canapé puis nous avons parlé. Je lui ai raconté pourquoi j'étais là, le samedi soir en boite, mon mari voyeur et un brin pervers.

Il fut un peu surpris puis trouva le délire très excitant et se proposa de participer au plaisir de notre couple.

 

La soirée continua et il me reprit encore une fois toujours dans tous les orifices, toujours très fort avant de finir cette fois, entre mes seins.

Désirant que mon mari puisse vérifier que sa femme avait bien été la salope attendue, il m'essuya avec mon pull. Après quelques câlins, il m'invita a rentrer à la maison tout raconter à Denis.

 

Rentrée à la maison Denis n'était pas couché. Il se leva du canapé et vint me rejoindre. Je filais dans la chambre un peu gênée. Denis entra et m'embrassa. Je sentais le sexe et des traces de sperme collé couvraient mes joues et mes cheveux.

 

Il les remarqua, je pris sa main et la posa sur mon pull souillé. Sans un mot il m'embrassa et me demanda de lui raconter. Assis sur le lit,  je lui racontais ma soirée dans tous les détails.

 

Au fil de mon histoire il me caressa et voulu me prendre. Je lui proposai de prendre une douche d'abord, mais il ne m'écouta pas et souhaita me prendre encore couverte des traces de mon amant.

 

Ce fut encore une fois à la maison une débauche de sexe et épuisée, après au moins 4 orgasmes cette soirée là, je filais me doucher et m'endormis comme une masse.

 

Nous décidâmes toutefois de ne pas poursuivre immédiatement …Je craignais que mon fougueux amant déconcerté par ce qui lui avait été offert si vite, ne me juge trop rapidement et considère qu’il pouvait tout attendre de moi … je craignais ses réactions, d’éventuels débordements, vantardises, que sais-je …. Je lui expliquais, Il fut bien sûr déçu, insista, mais avec tact sut se montrer respectueux de notre décision et évita de nous importuner. Je lui en suis reconnaissante.

 

Nous l’avons revu entretemps, cette fois en trio, et de manière plus ‘’conventionnelle’’

 

 

Belle histoire, non !?

 

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Jeudi 29 novembre 4 29 /11 /Nov 13:33
On a découvert cette video et nous ne resistons pas à vous la faire partager ...



Non seulement intermittents du SPECTACLE ( ... et quel spectacle !! ), mais aussi exposés aux intempéries ... pas facile, ce métier !
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 10:08

Nous venons de découvrir, non seulement une narratrice très douée, mais une magnifique jeune femme ...  Nous lui consacrons un article et mettons son lien dans la colonne de gauche.


Nous lui avions demandé son assentiment sur la publication d’un très beau texte découvert recemment, comme nous le faisons habituellement pour les auteurs découverts ici ou là !  C’était juste avant de fouiner sur son profil (lol !!!) et de découvrir son site … et là, nous avons découvert un site qui transpire l’érotisme et, lui donnant l’éclairage qu’il mérite, nous anticipons son accord, et nous permettons de vous en faire profiter de ce texte qui fut le déclic et nous poussa dans ses bras …

Espérons que notre Ronde et Sensuelle n’en prendra pas ombrage … vous en avez beaucoup d’autres à découvrir chez elle

Vous verrez elle agrémente avec bonheur les corvées ménagères ...

Dites nous en comm' ce que vous en pensez


Tous les dimanches en fin d’après-midi, c’est la corvée de la semaine : le repassage.

Mais, depuis quelques semaines, cette corvée me semble bien moins abominable... j’y prends même un certain plaisir..
Je m’installe toujours au même endroit : dans le salon, devant la baie vitrée de mon appartement. Toujours la même tenue : une petite nuisette. Il faut savoir que c’est la fin du week-end et j’ai envie d’être à l’aise, tranquille, bien souvent devant la télévision pour essayer de faire passer ce moment plus vite.

Pourtant, depuis quelques semaines, je n’ai pas besoin d’allumer le poste pour m’occuper.
En effet, il y a à peu près un mois, mon mari me fait une remarque :  Tu as vu il y en a un qui s’est installé depuis un certain temps sur le trottoir en face, il ne bouge plus , la tête en l’air, on dirait vraiment qu’il nous regarde !!!! Je crois que tu as trouvé un copain !!!! 

En effet, l’homme semblait au spectacle si on peut dire.... pour m’amuser je lui fais un signe de la main, quel ne fut pas mon étonnement : il me répondit aussitôt d’un air amusé lui aussi !!!!

Depuis ce jour, j’ai mon petit voyeur attitré tous les dimanches et j’avoue que le temps me semble moins long. Je m’installe, je regarde si il est là : oui , il est là !! Petit signe, il me répond... C’est avec un grand plaisir que je me mets à ma besogne alors.... je sais qu’il est là, qu’il a les yeux sur moi et je m’amuse à prendre des poses alléchantes... Mon mari aussi s’en amuse, et ne se prive pas de mains baladeuses, retroussant bien souvent ma nuisette pour laisser à l’homme libre vue sur mon postérieur. Il aime aussi me caresser la poitrine devant lui. Tout cela l’amuse beaucoup, il prend goût lui aussi à ce petit jeu du dimanche soir.

Chaque dimanche, toute la journée j’y pense, et mon sexe s’humidifie au fur et à mesure des heures. J’en suis excitée toute la journée. J’attends ce moment avec impatience.
Mon mari sait aussi que j’ai besoin, après ce moment de jeu, de me faire du bien, il m’accompagne alors dans la chambre soit pour me regarder me masturber (il adore cela) , soit pour me prendre sauvagement et rapidement en levrette car il sait que je n’en peux plus et qu’il me faut jouir rapidement.

Dimanche dernier, les choses ne se sont pas passées comme d’habitude.
Exceptionnellement, j’étais seule à la maison. Mon mari était parti aider un copain pour un déménagement.

Je m’installe, toujours au même endroit, toujours la même heure....
Il est là, toujours au même endroit fidèle au poste on pourrait dire.
Petit signe habituel, réponse habituelle de sa part, sourire......
Je commence mon travail ménager. Je lui montre ce que je suppose qu’il aime voir. Nue sous ma nuisette comme j’en ai l’habitude, mes seins se balancent au rythme de mes mouvements, je remonte ma nuisette par moments pour qu’il puisse voir mon intimité ..


Mais, qui va « soulager » mon envie cette fois ? Je n’ai qu’une solution, qu’une idée en tête : cette fois, ce sera lui !
Je patiente encore, je finis mon ouvrage sagement.
Mon devoir de ménagère terminé, je m’avance vers la fenêtre, je vais lui en montrer plus ce soir .
 
J’approche une chaise. Je m’assois, jambes écartées, et doucement je glisse mes doigts entre mes cuisses. Mon voyeur adoré a vu mon manège. Il se rapproche et me fait un signe affirmatif de la tête. Quelle excitation !!!! Je ressens vraiment un plaisir indescriptible à me montrer ainsi et savoir qu’il apprécie ce petit changement  ne peut que faire monter mon excitation.
 
C’est la première fois que je vois mon voyeur de si près. Allure élancée mais épaules bien carrées. Un peu dégarni mais cela lui donne une allure assez classe. Veste de velours kaki, pull beige. Très classe vraiment, et l’idée d’en faire plus avec lui me trotte vite en tête.
Je ressens une envie folle pour cet homme que j’ai aguiché depuis des semaines et qui maintenant est là devant moi et moi libre de faire ce que je veux ce jour-là .

Un petit signe suffit. Il a compris tout de suite. Je lui ouvre la porte.
Nous n’avons pas le temps de nous dire un mot. L’envie est pressante et mutuelle.
Ses mains me parcourent de toutes parts, je n’arrive même plus à savoir où elles se trouvent. Il me possède, il me caresse, il me lèche avidement, avec passion. Je lui dis que j’ai peu de temps.


Ses doigts alors pénètrent mon intimité. Je m’abandonne complètement à lui. Je profite en égoïste des caresses de cet homme. Je n’ai qu’à subir, j’adore cela. Son index me pénètre et son pouce joue avec mon clitoris durci. Je suis trempée, je coule de partout .
Je suis déjà au bord de la jouissance. Mais, je m’interdis de jouir à ce moment-là , je veux  aussi voir son sexe, je veux que lui aussi m’offre ce spectacle puisqu’il a profité de ma vue durant toutes ces semaines.


C’est avec empressement que je déboutonne sa braguette pour libérer son sexe gonflé de plaisir. Sa queue est trempée déjà de son excitation. Je prends son membre en main pour l’amener jusqu’à ma bouche. Je le lèche avec délectation et excitation. Je ne peux m’empêcher un râlement de plaisir. Je n’ai qu’une envie : que ce membre si tendu me procure la jouissance dont j’ai maintenant besoin comme tous les dimanches après ma petite séance d’exhibition. Cette fois, ce sera lui qui me le procurera ce plaisir.


J’ai toujours avec moi quelques préservatifs cachés dans mon sac.
Je le veux en moi, je le veux me pénétrer rapidement et sauvagement comme j’adore le faire aussi avec mon mari chaque dimanche. Je veux qu’il comprenne dans quel état il me met chaque semaine et ce que je dois absolument faire après pour me soulager de cette tension sexuelle.
Je lui donne le préservatif. Il le tend sur son sexe sans hésitation.
Je m’offre à lui, les fesses bien en l’air, dans ma position favorite, je n’attends que cela.


Il n’a aucun mal à me pénétrer je suis  tellement humide et ouverte. Il s’enfonce bien profond d’un coup, je pousse un cri de douleur tellement son sexe est long et profond.


Ce cri a l’effet d’une incitation pour lui, il donne un coup de bassin violent puis accélère ses mouvements. J’écarte bien les jambes pour le sentir encore plus profond et lui permettre de bien me contrôler. Je sens que je vais jouir très vite. J’entends le claquement de ses hanches sur mes fesses et ce bruit ne fait que décupler mon excitation. Un dernier coup de reins violent, un cri de jouissance inouï, un grognement d’animal.


Sa jouissance si fulgurante me donne le dernier plaisir que je recherche encore. Mon corps est pris de soubresauts violents et convulsifs, j’ai  l’impression qu’un courant de 220 volts me parcourt.

Je suis à bout de force.

Il se rhabille rapidement, m’embrasse tendrement sur le front, ce qui me surprend après ces moments sauvages et me dit juste :


A dimanche prochain

La porte claque. Moi, je suis  ailleurs, difficile de me remettre de cet épisode si extrême.
Je mets un certain temps à revenir à la réalité.

Est ce qu’il sera là , devant ma fenêtre, dimanche prochain ???...


Délicieux, non ?

 

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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